Dans les premiers mois de 1883, le palais est complètement rasé et les morceaux vendus et dispersés un peu partout en Ile-de-France, dans les jardins parisiens et jusqu’en Corse où le duc Pozzo di Borgo se servira des pierres pour construire son château à côté d’Ajaccio.
"Le Figaro" acheta les marbres et en fabriqua des presse-papiers pour ses abonnés.
Peuple ! L’or qui ruisselle sur ces murs, c’est ta sueur ! Assez longtemps tu as alimenté de ton travail, abreuvé de ton sang, ce monstre insatiable : la monarchie. Aujourd’hui, la Révolution t’a fait libre : tu rentres en possession de ton bien ; ici tu es chez toi, mais reste digne, parce que tu est fort et fait bonne garde pour que les tyrans ne rentrent jamais. |
Affiché par la Commune dans les salles des Tuileries