Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La décision de créer une Association Internationale des Travailleurs (AIT), appelée plus tard Ière Internationale, est prise à Londres, le 28 septembre 1864, lors d’un congrès ouvrier européen. L’AIT se donne pour objectif d’unir les prolétaires de tous les pays dans la lutte pour leur émancipation, au-delà des divisions artificielles créées par les États.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Paris, février 1864
Le 18 février 1864, Le Figaro annonce cette importante nouvelle :
Le cirque de l’Impératrice prépare une petite révolution. L’orchestre est transporté sur le côté droit…
On y lit aussi un compte rendu plein d’humour du banquet offert par les actionnaires du canal de Suez auquel assiste le prince Napoléon… Mais ce numéro ne rentrera pas dans l’histoire !
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Janvier 1863
dans une foret de varsovie
Le 14 janvier 1863, le comité central national qui réunit les sociétés secrètes favorables à l’indépendance de la Pologne (alors partagée entre Russie, Prusse et Autriche-Hongrie) décide de se réunir désormais dans les forêts avoisinantes de Varsovie pour préparer l’insurrection nationale.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Aujourd’hui, il faut réhabiliter la Commune et les communards.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Georges Clemenceau (1841-1929) fut témoin de l’insurrection du 18 mars à Montmartre, dont il était maire. Il prêcha la conciliation entre la Commune et Versailles, tout en gardant une amitié fidèle à Louise Michel. Le député s’est montré un fervent artisan de l’amnistie des communards au côté de Victor Hugo.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Article de Maxime Vuillaume paru dans Le Floréal du 29 mai 1920
Aux obsèques de Fränkel, élu de la Commune par le 13e, en même temps que Léo Melliet, Duval et Chardon. Nous sommes là un groupe d’amis, Avrial, membre de la Commune du 11e. Francis Privé, de la Corderie et du Comité des vingt arrondissements. André Alavoine qui fut administrateur de l’Imprimerie nationale. Je possède, dans la collection de mes documents, le manuscrit original de l’affiche, datée du 28 février 1871, demandant à la Garde nationale, au nom du Comité central récemment formé, « d’éviter (lors de l’entrée des Prussiens) toute agression qui serait le renversement immédiat de la République ». Le manuscrit signé des membres du Comité, est tout entier de la main d’Alavoine. Il est tel qu’il a été envoyé à l’imprimerie Morris, avec le bon à tirer et les cachets de la Fédération.
On cause sous la pluie fine d’une rafale de mars.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Depuis deux jours, les fêtes de la châtaigne ont commencé dans le gros village de Collobrières, perdu au cœur des Maures, entouré de forêts de chênes liège et de châtaigniers, de blés et de vignes. Mais le cœur n’y est pas. La principale activité du bourg, c’est la production des bouchons. 22 fabriques y emploient 400 à 500 personnes.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
En 1871, dès que Paris proclame la Commune, les délégués de l’Algérie, Alexandre Lambert, député des départements d’Algérie, Lucien Rabuel, Louis Calvinhac, déclarent,
au nom de tous leurs commettants, adhérer de la façon la plus absolue à la Commune de Paris. L’Algérie tout entière revendique les libertés communales. Opprimés pendant quarante années par la double centralisation de l’armée et de l’administration, la colonie a compris depuis longtemps que l’affranchissement complet de la Commune est le seul moyen pour elle d’arriver à la liberté et à la prospérité.
Paris, le 28 mars 1871 (Journal Officiel de la Commune de Paris)
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La situation préalable
À partir de 1865, Gustave Flourens se rendit en Crète pour y développer les idées de démocraties. Il fut le fondateur du journal L’Étoile d’Orient, que le gouvernement turc ne tarda pas à faire disparaître.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La Bibliothèque des littératures policières (Bilipo) [1], à Paris, a présenté jusqu’au 26 février une exposition sur les bagnes coloniaux, qui évoque notamment la déportation des communards en Nouvelle-Calédonie.
La déportation est appliquée aux condamnés politiques à partir de 1848, date à partir de laquelle ils échappent à la peine capitale.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La question de l’approvisionnement de Paris était cruciale pour la Commune. On sait combien, en particulier, la nourriture restait encore la pierre de touche de la réussite d’une action sociale. Or les circonstances ne semblaient guère favorables. Sans être vraiment isolé, Paris ne risquait-il pas de pâtir du second siège, encerclé à l’Est par les Prussiens, à l’Ouest par les Versaillais ? Certes du côté des Prussiens, la rigueur n’était pas de mise comme au temps du premier siège, mais du côté versaillais on s’ingéniait à rendre le ravitaillement difficile ; également une certaine inquiétude pouvait s’être emparée des approvisionneurs, fournisseurs, négociants, alarmés devant l’insurrection. Par ailleurs, comme les autres services, les services des subsistances de la Ville (Halles, Abattoirs, Tabacs (…) avaient été gravement désorganisés après le 18 mars par le départ ou l’absence des responsables et de nombreux fonctionnaires municipaux. La situation paraissait ainsi bien grave, atténuée sans doute par la réduction de la population parisienne depuis 1870.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Au congrès de la Première Internationale à la Haye, en septembre 1872, les Blanquistes se sont alliés aux Marxistes contre les fédéralistes de Bakounine.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Parmi le premier groupe de pontons-casernes affectés au service des insurgés de la Commune on trouve aussi : l’Austerlitz, vaisseau à hélice, 1852-juillet 1872, en rade de Brest du 31 mai 1871 au 20 février 1872 et le Napoléon, vaisseau à hélice, 1850-1876, en rade de Brest du 31 mai 1871 au 28 avril 1872.
Pour dégager les prisons versaillaises surchargées, 20.000 prisonniers sont transférés sur les pontons (méthode déjà pratiquée en 1848).
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
« Photographie et identification, du Second Empire aux années soixante », tel est le thème de l’exposition présentée jusqu’au 26 décembre, au musée des Archives nationales, à Paris.
« Alessio P., 23 ans en 1855, terroriste ; Emma C., 28 ans en 1865, femme galante ; Armand H., 38 ans en 1871, communard… »
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Dernièrement, un de nos fidèles adhérents nous demandait quel était l’auteur du cinquième couplet du « Temps des cerises ». Il avait écarté d’emblée Jean-Baptiste Clément dont il ne retrouvait pas le style ; et il avait raison.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
En 1871, la Commune proclame provisoirement la séparation de l'Église et de l'État. La caricature soutient alors les insurgés, traduit et propage leur sentiment antireligieux auprès de la population.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Alors que s'éteint la Commune en 1871 dans un bain de sang, éclate en Algérie une insurrection qui sera vaincue avec la déportation des survivants en Nouvelle-Calédonie.
Louise Michel écrivit à leurs propos :
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Louis Blanc (1) (1811-1882), historien et homme politique, publie, en 1841, une «brochure» de 245 pages sur «L’organisation du travail». Cette brochure aura dix éditions de 1841 à 1848 et connut un grand succès dans la classe ouvrière. D’après Louis Blanc, la concurrence est pour le peuple un système d’extermination, pour la bourgeoisie une cause d’appauvrissement et de ruine. Une réforme sociale, de type associatif, est un moyen de salut.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Pierre Rosanvallon a démontré le caractère illibéral du premier régime :
« Les libertés publiques y sont réduites au nom même d’une conception de l’exigence démocratique …».
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Répondant à notre appel invitant tous nos Amis de province à participer activement et de toutes les façons à la réalisation de notre bulletin, un adhérent de Tours, R. Bailleul, nous a fait parvenir des documents historiques d’un grand intérêt.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Il y a chez nous un meuble en bois précieux, d'une facture extrêmement raffinée, qui ferait saliver plus d'un antiquaire, malgré les cicatrices que lui ont laissées plusieurs déménagements et trois générations d'enfants nombreux et turbulents. En terme d'ébénisterie ce meuble réalisé vers 1880 par un maître artisan du faubourg Saint-Antoine se nomme un « chiffonnier ». Mais, dans la famille, on l'a toujours appelé le « Meuble du Forçat ».
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
C'est le 12 avril 1871 à la séance de minuit de la Commune que le projet de démolition de la colonne Vendôme est proposé par Félix Pyat. Sont présents : Augustin Avrial, Camille Langevin, Émile Léopold Clément, Jean-Baptiste Clément, Benoît Malon, Jean-Baptiste Pourille dit Blanchet, Albert Theisz et Jules Vallès. Selon les Articles et Décrets de la Commune, Jean-Baptiste Clément, Langevin et Avrial s'opposent au projet et demandent le rejet du décret mais on sait que les comptes rendus des séances du Journal Officiel de la Commune, étaient souvent, soit tronqués soit erronés, ce qui obligeait les participants à réclamer des démentis qui n'étaient pas toujours publiés. C'est ainsi que le même J.-B. Clément dans la séance du 27 avril demande la destruction « complète » de la colonne, comprenne qui pourra ! À la même séance, Avrial propose la date du 16 avril pour les élections complémentaires et Courbet, qui ne sera élu membre de la Commune qu'à cette date, utilisera plus tard, pour sa défense, cet argument devant le conseil de guerre.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Partie 1
La mort de Duval à la bataille de Châtillon le 4 avril 1871 est un des faits les plus connus de l'histoire de la Commune. Pourtant son contexte et le déroulement précis des événements qui l'ont précédée sont traités de manière très superficielle par la plupart des historiens qui ont plutôt marqué leur intérêt pour la mort de Flourens et les combats de l'ouest de Paris.
L'analyse de la bataille est une parfaite illustration de l'enthousiasme populaire, de la naïveté des Communards et des contradictions au sein de la Commune.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La police vient d’interrompre les représentations d’un nouveau théâtre qui s’était établi dans les terrains vagues de la rue de Vanves.
Il s’agit du Théâtre des Singes qui, depuis plus de huit jours, défrayait les loisirs des habitants de l’arrondissement.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
L'ultime barricade de la Commune était-elle située dans le XIe, le XIXe ou XXe arrondissement de Paris ? C'est l'une des questions que I'historien peut se poser. Mais il y en a bien d'autres que celle ci : sait-on réellement qui étaient ses défenseurs ? Les réponses que l'on peut trouver, au delà des patriotismes administratifs, construisent un mythe dont l'enjeu est la transformation d'une réalité autant sociale que politique pour « la bonne cause »
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
De 1871 à 1876, les tribunaux militaires avaient prononcé 13 450 condamnations à l'encontre des communards dont 7 900 peines de travaux forcés et de déportation. Durant cette période, seules quelques voix s'étaient élevées en faveur de l'amnistie, notamment celle de Victor Hugo.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Le 12 juillet 1880, le bulletin des lois de la République Française n° 571 publiait la loi 9953 relative à l’amnistie des individus condamnés pour avoir pris part aux événements insurrectionnels de 1870-1871 et aux événements insurrectionnels postérieurs.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Souvent on demande comment, malgré la répression et la conspiration du silence, la mémoire de la Commune a pu s'étendre à travers toute la France. Nous donnons un exemple au travers d’un livre d'André Gaillard publié en 1978, (le siècle Trioulais, Éd. Brissaud - Poitiers) où sont relatées les aventures de Jacques Cillet et du caporal Alexandre Vien, habitants d'un village des Deux-Sèvres.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
De Lissagaray à Cladel, du témoignage au roman, nombreux sont les récits de la Semaine sanglante. La situation industrielle et commerciale de Paris en octobre 1871, rapport établi par une « fraction du Conseil municipal », illustre le caractère de classe de cette tuerie et de la répression. Il constate l’absence - tués, prisonniers ou en fuite - de la moitié des cordonniers, du tiers des tailleurs et des ébénistes, de pratiquement tous les plombiers, couvreur ou zingueurs… tanneurs... 1500 bronzeurs manquent à l’appel ; les peintres de lettres et d’enseignes ont disparu...
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Le promeneur qui passait il y a peu devant le 85 de la rue Haxo, dans les Hauts de Belleville, pouvait lire au-dessus de l'entrée ces quelques mots énigmatiques : Villa des otages, et quelques pas plus loin, sons le porche d'une église, cette plaque étrange : Notre-Dame des Otages. II poursuivait alors son chemin sans en savoir plus. Depuis le 8 novembre 1996, une rame Decaux, posée presque clandestinement, donne quelques éléments d'explication.
C'est là que les communards ont exécuté 50 de leurs otages le 26 mai 1871, L'événement n'en est pas pour autant banalisé. La rame en question ne peut en effet rendre compte de la problématique de ce massacre, Ses lecteurs étant pour la plupart peu au fait de l'histoire de la guerre civile de 1871. Il nous faut donc aller plus loin pour comprendre pourquoi cette Villa des otages n'a pu devenir un véritable lieu de mémoire.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La Commune de Paris, qui par certains aspects se rattache aux révolutions de 1789, 1830, 1848, annonce les grandes révolutions victorieuses du XXe siècle. Pour la première fois au monde, la classe ouvrière est reconnue comme le seul mouvement capable d'initiative sociale.
La grande mesure sociale de la Commune est d'abord sa propre existence.
Elle ouvre la porte à ce qu'on appellera plus tard le gouvernement du peuple par le peuple.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
L’histoire de la Commune est riche en eaux-fortes. L’une d’elles nous prend littéralement à la gorge : en pleine agonie du pouvoir révolutionnaire, 120 femmes se retranchent, fusil en main, derrière une barricade, aux pieds de Montmartre, pour s’opposer à l’armée de l’Ordre. Elles sont exterminées.
Cet épisode de la guerre civile de 1871 s’est imposé à la mémoire, indiscutablement. Des barricades, lors de cette bataille tragique, on en a compté par centaines. Pourquoi pas une « barricade des femmes » ? J’ai longtemps admis ce « fait », mais l’étude de l’histoire des femmes sous la Commune m’a conduit à l’analyse de certains clichés. Les uns n’avaient-ils pas inventé des « pétroleuses » ? Les autres rêvé de légions d’« amazones » ?
La barricade des femmes, telle qu’on l’a imaginée, m’a semblé relever de ces images où finissent par se confondre représentation et donnée historique. Un piège séducteur, mais réducteur.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
La commission des barricades
Après la malheureuse sortie du 3 avril, l’armée de la Commune quelque peu démoralisée par son échec, se cantonne de plus en plus dans une stratégie purement défensive. Celle-ci a été préconisée par le général Cluseret, délégué à la Guerre, qui n’a aucune confiance dans la puissance d’attaque des Fédérés. La Commune l’a d’ailleurs incité à adopter une telle méthode puisqu’elle déclare, en blâmant l’offensive du 3 avril, qu’elle entend tenir désormais les opérations militaires sous sa direction, et ordonne à Cluseret de rester sur la défensive (1).
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
En juin 1983, « Les Amis de la Commune », mandatés par les descendants du colonel de Rochebrune, remirent au Musée d'Art et d'Histoire de Saint Denis le drapeau du 143e bataillon fédéré.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Le Mur des Fédérés, au cimetière du Père-Lachaise, où furent très probablement fusillés et inhumés nombre de communards en mai 1871, fait partie de la mythologie des militants de gauche. Il fut choisi avant 1914 comme le symbole de la "sauvagerie bourgeoise". La montée au Mur était surtout I ‘occasion de célébrer une "messe rouge" et souvent le lieu d'affrontements politiques.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Parmi les images qui viennent à l'esprit lorsqu'on évoque les barricades, celles de la Commune de 1871 s'imposent : derrière des tas de pavés se tiennent de farouches insurgés.
Mais peut-on s'arrêter à cette image ? La barricade soulève de nombreux problèmes. Offensive lors d’émeute ou d'insurrection et, dans ce cas, synonyme de pouvoir populaire, de libération, elle est défensive pour résister à un coup d'État ou à la répression.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
L'aide aux victimes de la répression versaillaise se présenta sous différentes formes. Parmi les proscrits se constituèrent des sociétés de secours et de sauvetage pour assurer la subsistance aux plus démunis.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Le 1er mars 1871, l’Assemblée nationale approuvait, par 546 voix contre 107 et quelques abstentions, la cession de l’Alsace et d’une partie de la Lorraine à l’empereur d’Allemagne récemment proclamé. Les députés alsaciens et lorrains avaient en vain élevé leur solennelle protestation. Elle ne devait pas même empêcher que toutes les villes d’Alsace aient leur rue Thiers, et aucune sa rue Delescluze, Amouroux, Gérardin ou Keller. La protestation contre l’annexion s’était pourtant armée dans la Commune de Paris de 1871.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Les souffrances qu'endurèrent au cours de leur voyage les communards condamnés à la déportation ne nous étaient connues à ce jour que par quelques récits de transportés, encore ces notations sont-elles presque toutes fort brèves, les narrateurs ne s’attardant guère dans la description des tourments endurés, à l'exclusion d'Henry Bauer auquel nous ferons de larges emprunts. Deux documents ignorés, semble-t-il, des historiens de la Commune, et dont les auteurs abordant le sujet sous l'angle médical décrivent scrupuleusement les conditions d'existence imposées aux détenus durant leur transportation nous ont été récemment communiqués.
- Détails
- Catégorie : Contributions à l'histoire de la Commune
Situation des enfants avant la Commune
Pendant le Second Empire, la condition ouvrière, à Paris comme en province, s'est terriblement aggravée. L'industrialisation naissante permet une surexploitation de l'ouvrier par la bourgeoisie qui dépasse l'imaginable, et les enfants en sont les premières victimes. Les textes de l'époque se passent de tout commentaire.
Dernières publications sur le site
-
Les journaux des communards au bagne de Nouvelle-Calédonie
Seuls les déportés simples de l’Ile des Pins eurent suffisamment de liberté pour pouvoir envisager de créer des journaux au bagne. Il n’en allait...
-
Le retour clandestin de fédérés en France
Combien sont-ils, les exilés de la Commune, à rejoindre clandestinement la France avant les lois d’amnistie de 1879 et 1880 ? Ils semblent avoir été peu...
-
NATHANIEL ROSSEL 1844-1871
PREMIÈRE PARTIE Né en 1844 à Saint-Brieuc, Rossel est d’origine écossaise par sa mère, cévenole et protestante par son père, opposant à l’Empire....
-
L’EXPÉRIENCE DÉMOCRATIQUE DU ROJAVA
L’idée Commune au présent Notre association insiste dans ses éditos avec juste raison sur l’actualité et la modernité de la Commune. Pour justifier...
-
Notes de lecture 3e trimestre 2024
Louise Michel, Marie-Hélène Baylac, Éditions Perrin, 2024. Thierry Guilabert, Tu ne tueras plus ! Émile Derré, anarchiste, pacifiste, sculpteur,...
-
Répression de la Commune de Paris 1871 - Petit dictionnaire des enfants emprisonnés.
Incarcérés pendant quelques semaines, quelques mois ou déportés à l'autre bout du monde durant des années, des milliers d'enfants furent arrêtés à...
-
Les inconnus de la Commune
Le beau livre “Les inconnus de la Commune”, Celui qui devait être disponible en juin vient d'arriver au local.
-
Nouvelle histoire de la Commune de Paris, 1871 - Index des noms et adresses, annexes
Index des noms de personnes Index des adresses citées Les annexes
-
La bibliothèque de l’Association
Notre bibliothèque est une richesse pour tous nos adhérents et s’avère incontournable pour celles et ceux qui désirent étudier ou approfondir leurs...